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Besançon : Ainsi fond, fond, fond…
Hier mardi, c'est en porteur de mauvaises nouvelles que Jean-Louis Fousseret, maire de Besançon, a tenu une conférence de presse. Comme c'était en effet à craindre, les économies réclamées par l'Etat vont sérieusement plomber le budget de la ville pour 2015. Lequel, s'il est voté, va passer sous la barre symbolique des 200 millions d'euros pour s'établir à 195,6 millions. Soit 16 de moins que l'an passé.
Quelles vont en être les conséquences ? L'abandon de certains « grands projets », telle que la construction d'une vraie salle de spectacle type "Zénith". L'enveloppe générale consacrée aux investissements devant être amputée à elle seule cette année de 10 millions d'euros (pour plafonner à 32).
Pas en reste de coupes claires, les subventions accordées par la ville devraient chuter d'environ 4 %. Quelques structures culturelles comme la Citadelle et l'école des beaux-arts en feront notamment les frais.
Egalement annoncée, la baisse des crédits alloués aux services municipaux de la ville devrait être de 8 %, avec une diminution du budget com', ou encore des départs en retraite non remplacés dans l'administration. Une mesure devant permettre en parallèle de limiter la casse dans certains autres domaines « prioritaires », tels que la sécurité et la tranquillité publique, les rythmes scolaires, l'aménagement des bâtiments, la voirie…
Ce qui ne sera peut-être même plus le cas en 2016. Le premier édile n'excluant pas de devoir « prendre des mesures radicales » pour s'adapter aux restrictions toujours plus drastiques que prévoit le gouvernement.
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Quelles vont en être les conséquences ? L'abandon de certains « grands projets », telle que la construction d'une vraie salle de spectacle type "Zénith". L'enveloppe générale consacrée aux investissements devant être amputée à elle seule cette année de 10 millions d'euros (pour plafonner à 32).
Pas en reste de coupes claires, les subventions accordées par la ville devraient chuter d'environ 4 %. Quelques structures culturelles comme la Citadelle et l'école des beaux-arts en feront notamment les frais.
Egalement annoncée, la baisse des crédits alloués aux services municipaux de la ville devrait être de 8 %, avec une diminution du budget com', ou encore des départs en retraite non remplacés dans l'administration. Une mesure devant permettre en parallèle de limiter la casse dans certains autres domaines « prioritaires », tels que la sécurité et la tranquillité publique, les rythmes scolaires, l'aménagement des bâtiments, la voirie…
Ce qui ne sera peut-être même plus le cas en 2016. Le premier édile n'excluant pas de devoir « prendre des mesures radicales » pour s'adapter aux restrictions toujours plus drastiques que prévoit le gouvernement.
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Publié le mercredi 18 février 2015 à 10h10