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Besançon : Agresseurs en série
C'est triste à dire, mais à Besançon, le fait divers barbare du week-end passé a été utile à quelque chose : nous apprendre que c'est au moins le quatrième passage à tabac de ce genre que la capitale comtoise connaît depuis le… début du mois.
Suite à cette dernière affaire, les familles de trois autres victimes se sont en effet manifestées tour à tour cette semaine pour rendre public le semblable calvaire vécu par leurs proches.
Remontant à la nuit du 4 au 5 juin dans la rue Pergaud, le premier aura concerné deux étudiants de 19 ans : sortis fêter en discothèque la fin de leurs examens, ils auront été tabassés par deux hommes au moment de rejoindre leur véhicule au petit matin. Lesquels les auront alors dépouillés de leurs biens avant de les abandonner salement amochés (fracture du nez, des pommettes…) dans un petit bois de l'avenue Clémenceau… ligotés avec leurs lacets et bâillonnés avec leurs chaussettes. Ils auront demandé à leurs victimes de garder le silence, sous peine de les retrouver pour leur « trancher la gorge »…
Autre lieu, même déchaînement de violence, c'est sur les hauteurs du quartier Battant, rue Richebourg, qu'un trentenaire rejoignant son hôtel du centre-ville a pareillement été roué de coups et détroussé, la nuit suivante vers 5h du matin. Se souvenant tout juste d'avoir entendu des pas derrière lui avant de se retrouver au sol et de perdre rapidement connaissance, il n'a pas été en mesure de décrire son ou ses agresseurs.
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Suite à cette dernière affaire, les familles de trois autres victimes se sont en effet manifestées tour à tour cette semaine pour rendre public le semblable calvaire vécu par leurs proches.
Remontant à la nuit du 4 au 5 juin dans la rue Pergaud, le premier aura concerné deux étudiants de 19 ans : sortis fêter en discothèque la fin de leurs examens, ils auront été tabassés par deux hommes au moment de rejoindre leur véhicule au petit matin. Lesquels les auront alors dépouillés de leurs biens avant de les abandonner salement amochés (fracture du nez, des pommettes…) dans un petit bois de l'avenue Clémenceau… ligotés avec leurs lacets et bâillonnés avec leurs chaussettes. Ils auront demandé à leurs victimes de garder le silence, sous peine de les retrouver pour leur « trancher la gorge »…
Autre lieu, même déchaînement de violence, c'est sur les hauteurs du quartier Battant, rue Richebourg, qu'un trentenaire rejoignant son hôtel du centre-ville a pareillement été roué de coups et détroussé, la nuit suivante vers 5h du matin. Se souvenant tout juste d'avoir entendu des pas derrière lui avant de se retrouver au sol et de perdre rapidement connaissance, il n'a pas été en mesure de décrire son ou ses agresseurs.
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Publié le mercredi 17 juin 2015 à 10h28