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Chiens égorgeurs en Haute-Saône
Un éleveur de Lambrey, en Haute-Saône, a perdu une dizaine de brebis et d'agneaux. Tous ont été égorgés par des chiens errants.
En début de semaine, alors que ce retraité rendait une visite matinale à ses moutons, il n'a pas pu pénétrer dans son enclos : deux chiens lui barraient le passage, gueule grande ouverte, entourés de cadavres ovins. L'éleveur a immédiatement prévenu les gendarmes, afin qu'ils constatent les dégâts et accompagnent les chiens dans leur enclos.
Ceux-ci ont égorgé quatre animaux et blessé une demi-douzaine d'autres. Dont plusieurs agneaux qui, même s'ils survivent à leurs blessures, sont probablement condamnés car orphelins.
L'éleveur avait déjà eu affaire à des chiens errants en 2008. Il s'était alors arrangé à l'amiable avec le propriétaire des animaux. Cette fois toutefois, plus question d'être amical et compréhensif : le haut-saônois a décidé de porter plainte.
S'il s'avère que les chiens ne se sont pas enfuis, mais ont été libéré par leur maitre, ce dernier risque non seulement une importante amende, mais aussi une peine d'emprisonnement pour "destruction d'animaux d'élevage".
En début de semaine, alors que ce retraité rendait une visite matinale à ses moutons, il n'a pas pu pénétrer dans son enclos : deux chiens lui barraient le passage, gueule grande ouverte, entourés de cadavres ovins. L'éleveur a immédiatement prévenu les gendarmes, afin qu'ils constatent les dégâts et accompagnent les chiens dans leur enclos.
Ceux-ci ont égorgé quatre animaux et blessé une demi-douzaine d'autres. Dont plusieurs agneaux qui, même s'ils survivent à leurs blessures, sont probablement condamnés car orphelins.
L'éleveur avait déjà eu affaire à des chiens errants en 2008. Il s'était alors arrangé à l'amiable avec le propriétaire des animaux. Cette fois toutefois, plus question d'être amical et compréhensif : le haut-saônois a décidé de porter plainte.
S'il s'avère que les chiens ne se sont pas enfuis, mais ont été libéré par leur maitre, ce dernier risque non seulement une importante amende, mais aussi une peine d'emprisonnement pour "destruction d'animaux d'élevage".
Publié le jeudi 29 mars 2012 à 17h39
