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Doubs : Coquin de sort
De même que les chances de gagner à l'Euromillions se comptent généralement sur les doigts d'une main de manchot, la probabilité qu'un automobiliste se fasse contrôler à deux reprises en moins de 24 heures (quand la moyenne nationale est d'un contrôle tous les 5 ans) n'est pas des plus élevées.
Or, voilà justement ce à quoi un Haut-Doubiens de 33 ans a eu droit le week-end dernier. Un improbable concours de circonstances qui n'aurait pu être qu'une anecdote insignifiante… si ledit conducteur n'avait pas été pris en défaut à chaque fois.
Vendredi en fin d'après-midi, c'est tout d'abord pour avoir révélé un taux de 0,94 g d'alcool par litre de sang que l'homme, tombé sur une patrouille de gendarmerie non loin de chez lui à Métabief, aura été invité à remettre son permis de conduire. Confiscation qui ne lui aura guère passé l'envie de prendre le volant… et lui valait ainsi d'être surpris dès le lendemain matin à circuler ce coup-ci sans son papier rose, au hasard d'un autre contrôle routier mené à Jougne… par les mêmes gendarmes que la veille.
Un acharnement du destin alors agrémenté d'une convocation en justice que ce contrevenant aussi entêté que malchanceux devra faire valoir prochainement devant le tribunal correctionnel de Besançon.
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Or, voilà justement ce à quoi un Haut-Doubiens de 33 ans a eu droit le week-end dernier. Un improbable concours de circonstances qui n'aurait pu être qu'une anecdote insignifiante… si ledit conducteur n'avait pas été pris en défaut à chaque fois.
Vendredi en fin d'après-midi, c'est tout d'abord pour avoir révélé un taux de 0,94 g d'alcool par litre de sang que l'homme, tombé sur une patrouille de gendarmerie non loin de chez lui à Métabief, aura été invité à remettre son permis de conduire. Confiscation qui ne lui aura guère passé l'envie de prendre le volant… et lui valait ainsi d'être surpris dès le lendemain matin à circuler ce coup-ci sans son papier rose, au hasard d'un autre contrôle routier mené à Jougne… par les mêmes gendarmes que la veille.
Un acharnement du destin alors agrémenté d'une convocation en justice que ce contrevenant aussi entêté que malchanceux devra faire valoir prochainement devant le tribunal correctionnel de Besançon.
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Publié le mardi 11 mars 2014 à 11h02