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Des filous sexagénaires dans le Jura
Pourquoi payer des notes d'hôtel ou de restaurant, alors qu'il est bien plus facile de s'éclipser discrètement, sans qu'il en coûte un centime?
Ce délit, nommé "filouterie d'hôtel et d'aliments", est la spécialité d'un respectable couple de sexagénaires jurassiens.
Ces deux personnes ont passé quatre jours dans un hôtel de Champagnole du 14 au 18 octobre dernier. Ils ont bien profité du gîte tout comme du couvert, avant de partir en laissant impayée une note de 700 €.
Quelques jours plus tôt, un hôtel d'Arbois avait déjà hébergé "gratuitement" ce couple, pour un préjudice de 160 €.
Les deux hôteliers ont porté plainte, et ont prévenu les autres professionnels de l'hébergement du département.
C'est ainsi que le personnel d'un hôtel de Lons-le-Saunier a reconnu le couple de filous, et a alerté la gendarmerie.
Les deux sexagénaires ont donc été interpellés jeudi matin de bonne heure (mais pas vraiment de bonne humeur), avant d'avoir eu le temps de s'enfuir.
Le couple ayant reconnu les faits et remboursé les notes, il a été remis en liberté. Il devra tout de même expliquer ses agissements devant le tribunal en février prochain.
R. Hingray
Ce délit, nommé "filouterie d'hôtel et d'aliments", est la spécialité d'un respectable couple de sexagénaires jurassiens.
Ces deux personnes ont passé quatre jours dans un hôtel de Champagnole du 14 au 18 octobre dernier. Ils ont bien profité du gîte tout comme du couvert, avant de partir en laissant impayée une note de 700 €.
Quelques jours plus tôt, un hôtel d'Arbois avait déjà hébergé "gratuitement" ce couple, pour un préjudice de 160 €.
Les deux hôteliers ont porté plainte, et ont prévenu les autres professionnels de l'hébergement du département.
C'est ainsi que le personnel d'un hôtel de Lons-le-Saunier a reconnu le couple de filous, et a alerté la gendarmerie.
Les deux sexagénaires ont donc été interpellés jeudi matin de bonne heure (mais pas vraiment de bonne humeur), avant d'avoir eu le temps de s'enfuir.
Le couple ayant reconnu les faits et remboursé les notes, il a été remis en liberté. Il devra tout de même expliquer ses agissements devant le tribunal en février prochain.
R. Hingray
Publié le vendredi 22 octobre 2010 à 15h46