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Bart (25) : Faute de frappe
Contrairement à certains entêtés, lui avait très bien compris dès sa première condamnation que battre sa conjointe quand son couple bat de l'aile n'est pas une solution. Seulement, en ayant alors choisi de passer son temps sur Internet pour discuter très librement avec des mineurs, ce trentenaire doubien n'aura pas trouvé la meilleure des activités de substitution. Laquelle durait depuis déjà 3 ans lorsqu'en 2012 sa compagne de l'époque était donc tombée sur l'historique de ses conversations sans équivoque, essentiellement menées avec un adolescent de 15 ans qu'il… avait notamment incité à commettre des attouchements sur sa sœur.
Enfin… le croyait-il ! Car après ouverture d'une enquête, il s'était avéré que ces deux jeunes victimes avaient en fait été créées de toutes pièces par un individu majeur et vacciné prenant inversement plaisir à duper les pédophiles. Ce qui n'avait pas pour autant sorti l'accusé d'affaire.
Inculpé depuis pour tentative de corruption de mineurs, cet homme qui par ailleurs consultait de temps à autre des sites à caractère pédopornographique avait ainsi rendez-vous dernièrement devant la justice, où ses déviances « contextuelles » et « du[e]s à un manque » (selon les experts psychologue et psychiatre) auront été sanctionnées de 18 mois de prison (dont 12 avec sursis) ainsi que de 3 ans de suivi sociojudiciaire, le tout assorti d'une obligation de soins et d'une inscription au fichier national des délinquants sexuels.
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Enfin… le croyait-il ! Car après ouverture d'une enquête, il s'était avéré que ces deux jeunes victimes avaient en fait été créées de toutes pièces par un individu majeur et vacciné prenant inversement plaisir à duper les pédophiles. Ce qui n'avait pas pour autant sorti l'accusé d'affaire.
Inculpé depuis pour tentative de corruption de mineurs, cet homme qui par ailleurs consultait de temps à autre des sites à caractère pédopornographique avait ainsi rendez-vous dernièrement devant la justice, où ses déviances « contextuelles » et « du[e]s à un manque » (selon les experts psychologue et psychiatre) auront été sanctionnées de 18 mois de prison (dont 12 avec sursis) ainsi que de 3 ans de suivi sociojudiciaire, le tout assorti d'une obligation de soins et d'une inscription au fichier national des délinquants sexuels.
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Publié le vendredi 10 octobre 2014 à 08h37