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Pontarlier : Pluie d’ennuis
Alors que nous étions plus d'un à tirer la langue sous une chaleur suffocante, ce jeudi en fin d'après-midi c'est au contraire avec le gosier irrigué plus qu'il ne l'aurait fallu qu'un boit-sans-soif semant le trouble dans le centre-ville de Pontarlier a copieusement usé de sa salive à l'encontre des policiers venus l'interpeller.
Arrosés une première fois d'un flot d'insultes encore acceptable (quoique !), les agents n'auront pas vraiment été au bout de leurs surprises en choisissant de conduire à l'hôpital cet individu déjà "bien" connu de leurs services, histoire de le faire examiner… et d'apprendre en retour qu'il était atteint d'une hépatite C.
Un diagnostic que l'intéressé n'aura alors pas pris autrement que comme un bon prétexte pour cracher par terre et ensuite faire pleuvoir les glaviots en direction des forces de l'ordre, pensant sans doute leur transmettre son mal de cette manière.
Le temps que l'alcool s'évapore de son cerveau au profit d'idées plus clairvoyantes, ce n'est finalement qu'à son arrivée au commissariat qu'il aura davantage cherché à goûter dangereusement à la chair de poulet, en multipliant les tentatives de morsures puis en serrant l'un des policiers à la gorge.
Difficilement maîtrisé par trois autres collègues, il aura passé la nuit en garde à vue avant d'être présenté dès le lendemain des faits au tribunal correctionnel de Besançon qui l'aura condamné à une (petite) peine de 3 mois de prison ferme, assortie de dommages et intérêts à cracher tout aussi généreusement aux victimes de ses outrages.
C.R
Arrosés une première fois d'un flot d'insultes encore acceptable (quoique !), les agents n'auront pas vraiment été au bout de leurs surprises en choisissant de conduire à l'hôpital cet individu déjà "bien" connu de leurs services, histoire de le faire examiner… et d'apprendre en retour qu'il était atteint d'une hépatite C.
Un diagnostic que l'intéressé n'aura alors pas pris autrement que comme un bon prétexte pour cracher par terre et ensuite faire pleuvoir les glaviots en direction des forces de l'ordre, pensant sans doute leur transmettre son mal de cette manière.
Le temps que l'alcool s'évapore de son cerveau au profit d'idées plus clairvoyantes, ce n'est finalement qu'à son arrivée au commissariat qu'il aura davantage cherché à goûter dangereusement à la chair de poulet, en multipliant les tentatives de morsures puis en serrant l'un des policiers à la gorge.
Difficilement maîtrisé par trois autres collègues, il aura passé la nuit en garde à vue avant d'être présenté dès le lendemain des faits au tribunal correctionnel de Besançon qui l'aura condamné à une (petite) peine de 3 mois de prison ferme, assortie de dommages et intérêts à cracher tout aussi généreusement aux victimes de ses outrages.
C.R
Publié le lundi 29 juillet 2013 à 14h42