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Si Plus Belle la Vie se déroulait en Franche-Comté…
Plus Belle la Vie se passe à Marseille, dans le sud de la France. Mais nous, on aurait aimé une version franc-comtoise !
Dans cette version fantasmée de la série Plus Belle la Vie, le quartier le Mistral s'appelle La Bise. Mais, on a bien compris qu'il est fortement inspiré du quartier bobo-coco-chic-écolo Battant de Besançon.
Comme il a fallu construire des studios pour tourner Plus Belle la Vie en Franche-Comté, c'est du côté de Numérica, à Montbéliard, qu'un bâtiment a été utilisé pour créer les scènes d'intérieur.
D'ailleurs, c'est pratique, car les producteurs utilisent le savoir-faire sochalien de Peugeot en matière de poursuites en voiture. Peugeot qui parraine d'ailleurs la série grâce à des placements de produits dans presque toutes les scènes d'extérieur : scooters pour les jeunes, 208 pour les policiers et RCZ pour les chefs d'entreprises et les play-boys !
Grâces aux ressources touristiques de la région, la police enquête durant 8 saisons sur le meurtre d'un montgolfiériste à la Saline royale d'Arc-et-Senans. Bien sûr, c'est dans le dernier épisode que l'on apprend qu'il n'est pas mort grâce à un retournement de situation dont les scénaristes ont le secret.
Aussi, pas moins de 120 épisodes (une saison hivernale) conte le déménagement d'une famille à Mouthe pour retrouver un emploi dans l'horlogerie. A la fin, ils deviennent riches en gagnant à la loterie.
Mais, ce qui passionne les Français dans notre version franc-comtoise de Plus Belle la Vie, ce sont toutes les histoires autour des habitants frontaliers qui vont travailler en Suisse tout en profitant de l'assurance-maladie française. De plus, la série suit fortement l'actualité et les préoccupations locales. Ainsi, depuis 2016, tous les méchants sont bourguignons.
Évidemment, dès la saison 11, la production a décidé de recentrer l'intrigue autour de deux familles agricoles. La première cultive des pommes de terre en Haute-Saône. Elle découvre alors que ses légumes ont des propriétés magiques car la ferme a été construite sur un ancien cimetière indien.
La deuxième famille vit du vin à Arbois. On y découvre l'assassinat d'un vigneron par son fils. Mais la police croit fermement que c'est le dahu qui a fait le coup. Cette intrigue, s'étirant sur pas moins de 482 épisodes, sera finalement résolue lorsqu'un archéologue américain prouvera aux policiers jurassiens que le dahu n'a jamais existé.
Alors, elle ne serait pas plus agréable à regarder cette série si elle se déroulait en Franche-Comté ?
Dans cette version fantasmée de la série Plus Belle la Vie, le quartier le Mistral s'appelle La Bise. Mais, on a bien compris qu'il est fortement inspiré du quartier bobo-coco-chic-écolo Battant de Besançon.
Comme il a fallu construire des studios pour tourner Plus Belle la Vie en Franche-Comté, c'est du côté de Numérica, à Montbéliard, qu'un bâtiment a été utilisé pour créer les scènes d'intérieur.
D'ailleurs, c'est pratique, car les producteurs utilisent le savoir-faire sochalien de Peugeot en matière de poursuites en voiture. Peugeot qui parraine d'ailleurs la série grâce à des placements de produits dans presque toutes les scènes d'extérieur : scooters pour les jeunes, 208 pour les policiers et RCZ pour les chefs d'entreprises et les play-boys !
Grâces aux ressources touristiques de la région, la police enquête durant 8 saisons sur le meurtre d'un montgolfiériste à la Saline royale d'Arc-et-Senans. Bien sûr, c'est dans le dernier épisode que l'on apprend qu'il n'est pas mort grâce à un retournement de situation dont les scénaristes ont le secret.
Aussi, pas moins de 120 épisodes (une saison hivernale) conte le déménagement d'une famille à Mouthe pour retrouver un emploi dans l'horlogerie. A la fin, ils deviennent riches en gagnant à la loterie.
Mais, ce qui passionne les Français dans notre version franc-comtoise de Plus Belle la Vie, ce sont toutes les histoires autour des habitants frontaliers qui vont travailler en Suisse tout en profitant de l'assurance-maladie française. De plus, la série suit fortement l'actualité et les préoccupations locales. Ainsi, depuis 2016, tous les méchants sont bourguignons.
Évidemment, dès la saison 11, la production a décidé de recentrer l'intrigue autour de deux familles agricoles. La première cultive des pommes de terre en Haute-Saône. Elle découvre alors que ses légumes ont des propriétés magiques car la ferme a été construite sur un ancien cimetière indien.
La deuxième famille vit du vin à Arbois. On y découvre l'assassinat d'un vigneron par son fils. Mais la police croit fermement que c'est le dahu qui a fait le coup. Cette intrigue, s'étirant sur pas moins de 482 épisodes, sera finalement résolue lorsqu'un archéologue américain prouvera aux policiers jurassiens que le dahu n'a jamais existé.
Alors, elle ne serait pas plus agréable à regarder cette série si elle se déroulait en Franche-Comté ?
Publié le jeudi 30 novembre 2017 à 09h22