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Une femme poignardée par son compagnon à Valdoie
Une homme de 43 ans a tué hier sa compagne, une femme d'une quarantaine d'année, dans son logement de Valdoie, dans le Territoire de Belfort.
Le drame s'est déroulé hier en fin d'après-midi, dans un petit immeuble collectif à l'angle des rues de Turenne et Oscar Ehret, à Valdoie.
Des voisins avaient entendu des bruits de disputes et des cris. Peu après, à 17h45, un homme est sorti de son appartement, les mains en sang, et en criant "C'est ma femme, c'est ma femme!".
Les secours ayant été prévenus, une ambulance est rapidement arrivée sur les lieux, mais il était trop tard : la femme, qui avait reçu au moins un coup de couteau dans la poitrine, était déjà morte.
L'homme a été placé en garde à vue et interrogé par la police. Mais, fortement enivré, il ne se souvenait pas très bien des heures précédentes...
Il n'a même pas pu donner aux policiers l'identité de la victime, qu'il dit pourtant connaître depuis 4 ans.
La police scientifique a procédé hier soir aux premières investigations, et en a tiré quelques conclusions. Il n'est ainsi pas certain que la victime habitait chez son meurtrier présumé, car il y avait peu d'affaires féminines dans l'appartement.
La quadragénaire n'a toutefois pas encore pu être identifiée : aucun papier d'identité n'a été retrouvé.
Laure Godey
Le drame s'est déroulé hier en fin d'après-midi, dans un petit immeuble collectif à l'angle des rues de Turenne et Oscar Ehret, à Valdoie.
Des voisins avaient entendu des bruits de disputes et des cris. Peu après, à 17h45, un homme est sorti de son appartement, les mains en sang, et en criant "C'est ma femme, c'est ma femme!".
Les secours ayant été prévenus, une ambulance est rapidement arrivée sur les lieux, mais il était trop tard : la femme, qui avait reçu au moins un coup de couteau dans la poitrine, était déjà morte.
L'homme a été placé en garde à vue et interrogé par la police. Mais, fortement enivré, il ne se souvenait pas très bien des heures précédentes...
Il n'a même pas pu donner aux policiers l'identité de la victime, qu'il dit pourtant connaître depuis 4 ans.
La police scientifique a procédé hier soir aux premières investigations, et en a tiré quelques conclusions. Il n'est ainsi pas certain que la victime habitait chez son meurtrier présumé, car il y avait peu d'affaires féminines dans l'appartement.
La quadragénaire n'a toutefois pas encore pu être identifiée : aucun papier d'identité n'a été retrouvé.
Laure Godey
Publié le jeudi 15 avril 2010 à 12h33
